Devant la montagne, immuable, on se pose la question de la nouveauté, du changement. L’hiver en Suisse est un moment de transition, il nous fait passer d’une année à l’autre et détruit la nature pour qu’elle refleurisse au printemps.
Saisons après saisons, le vivant change, évolue, s’adapte tranquillement mais sûrement afin de survivre.
Lorsque le climat change brusquement, il meurt.
Comme à la nature, le journalisme doit renaître différemment, il doit s’adapter à un nouvel écosystème. Nos grands groupes nationaux doivent avoir le courage de l’évolution.
Oser l’innovation, imiter les innovateurs, en un mot: essayer.