Finalement il a fait beau.
Nous sommes tombés sur un petit restaurant refait à neuf où l’on a mangé des takoyaki (sorte de boule de pate à beignet contenant un morceau de poulpe) en regardant un match de sumo à la télévision.
Il y avait un couple de vieux japonais dont le mari, en kimono, crane rasé à l’exception d’une mèche blonde, chantait parfois des passages de ce que je supposais être des morceaux de théâtre classique japonais.
Puis de la rue, une vieille dame et sa fille (plus vieille que moi) ont aperçu le chanteur et son épouse et sont rentrés, nous ont souri et ont commandé des takoyaki et de la bière et ont commencé à manger, comme si de rien était. Non pas vraiment. La vieille dame nous observait du coin de l’œil en souriant et en parlant doucement aux autres. Je l’ai surprise et elle a ri.
Elle m’a dit “Oishii ?” (C’est bon?), j’ai répondu “hai!” (Oui) et elle a ri de plus belle en hochant la tête.
On a regardé le match de sumo, ensemble.
On était bien. Comme si on était chez nous.
PS : et le soir, dans un bar, j’ai mangé du camembert à Tokyo.
"I'm from Libya," he said. I don't know what to say. It's as if he'd told me he'd just come from his father's funeral.
The first specialty coffee shop in Ikebukuro and Junkudo (bookstore) resonate.
Editing is interpreting.
The Riddle of Steel.
The man stands motionless in a crush of white-shirted salarymen, as they swarm past him, toward the single escalator.
Rêve de centre commercial-piscine
Sparrow Noise
Birthday walk home
"Dear Cigarettes"