"Je ne veux pas qu'il me laisse !"

October 13th, 2014, 8pm

It was 15°C with few clouds. The breeze was gentle.

Lundi 13 octobre 2014.
Je ai écrit plein de choses brillantes intelligentes blessantes pendant mon sommeil et tout a disparu au réveil. Ou du moins faisons comme si.
Ensuite il m’a dit qu’il n’était même pas sur de ne pas vouloir le revoir. Je lui ai dit qu’il devait avoir une grande influence sur lui pour qu’il le rappelle pour lui dire ça.

J’ai rêvé d’un insecte flamme multicolore et supersonique. J’ai rêvé d’une promenade sur des docks londoniens transformés en immondes galeries de meubles vintage a ciel ouvert dans lesquels trainaient des morceaux de mon passé.

Il faut vraiment que vous me touchiez, que vous m’effleuriez du coude, de votre sac, d’une partie de votre corps? C’est une sorte de communication à la quelle je n’aurais pas été éduqué ?

Arsenic bovarien à l’encre blanche. Position nodale. Ancre blanche pour l’œuvre au noir? Morphine en patch, bleus comme de l’ancre violette, l’eau envahit ses poumons, inondation intime. Noyade sans ancre. Pour un fondu au noir. “Je ne veux pas qu’il me laisse” dit elle, en larmes, évidement. Sauf que tu n’y peut rien. Personne. Ni Niatch, ni personne. “-tu as trouvé des réponses?” “-j’ai plutôt constaté qu’il y avait des questions qui n’avaient pas de sens.”

Quand nous rencontrerons nous ?

PS : je ne t’en veux pas du tout. Tu laisse un grand vide. Reviens quand tu veux ensoleiller mon scarabée. Vite.


gyōjishukke and Shu said thanks.

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Nisan Gogo

Hobonichi (un peu chaque jour. abréviation). Chronologiquement : http://hobonichinotes.blogspot.com

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