Lundi 16 juin 2014
Amusant, ce désynchronisme1, cette mise en parallèle quand tu recopie.
4 avril - 4 juin : 23 rêves.
Les larmes montent à la lecture de cet article qui me rappelle que je suis en attente ici et que la vraie vie c’est là-bas même s’il ne s’agit pas du même.
Pensée parallèle, gigogne :
|je n’irai jamais avec eux au japon|
|le japon est a nous, fait partie de notre intimité|
Hier on a parlé du séisme.
Ils ont parlé des grelons tombés.
O. en a gardé dans son freezer et nous les a montrés.
”tu crois que chu un beauf, que je les ai gardés dans mon frigo?”
J’en ai laissé tomber un sur ma main pour essayer de me rendre compte de la force de l’impact.
| quelle prétention, aussi, de penser que mon séisme de snob qui va en vacances au Japon allait effacer le traumatisme et la peur de cette effroyable cataclysme surgelé |
Après tout pourquoi vouloir tout connecter. Ça pourrait être drôle d’être cherché un peu partout. Ça pourrait mettre du piment.
Chirashi. J’entends parler des gens qui me sont insupportables de façon immédiate et épidermique. Des gens qui n’ont aucun recul ni aucune autocritique disponible. Je me dis que j’ai de la chance de n’avoir jamais eu ce genre de personne comme collegues. Et puis je me dis que si je n’en ai jamais eu, peut être que c’est normal. Peut être que c’est parce que je ne les supporte pas et que donc je ne suis jamais monté à des niveaux de responsabilité qui me feront en rencontrer. Mais a-t-on besoin d’être imbu et odieux pour naviguer dans les hautes sphères ?
désolé, j’invente des mots. ↩
Neige.
Photo du dessin de la photo du jour
Kaze, ça veut dire malade, comme le vent.
La neige n'est pas venue.
Mydriase.
Visions of Transoxiane
Thailande. Murakami.
Journal d'invisibilité
Ecouter l'autoroute.